De prendre rendez-vous avec le règlement bien que ça ne soit pas une partie de plaisir à lire, le contexte pour vous imprégnez de cette douce mélodie carillonnant à vos oreilles décorés ou bien encore à voir des photos sur le sujet des annexes pour vous sentir chez vous à Florence. C'est à lire. Ceci n'est pas une proposition mais une obligation pour vous guider.

Ici s'élèvent des embruns accomplis, des questions de jeunes timides ne voulant pas ou hésitant à s'inscrire cherchant, dans leur quête de vie quelques brins de réponses données par les apôtres de Florence. Des nouveautés, des annonces voyez cela comme le président déblatérant sur son trône des discours improbables. La vie vit dans cette partie c'est un peu... comme l'office de tourisme et, les hôtes d’accueil seront bien heureux de vous aider.

C'est ici que se trouvent toutes les merveilles tant attendues de nos chers membres ! N'hésitez surtout pas à venir jeter un oeil dans cette partie, vous rendrez fou de bonheur un membre qui vous couvrira à coup sur d'un accueil digne de ce nom ! De plus, choisir un scénario vous assure à l'avance des liens prédéfinis et ça, c'est toujours sympa. Hésiter sur plusieurs choix, prendre le temps de réfléchir, incarner un personnage et se glisser dans sa peau, les scénarios sont attendus, autant que les pré-lien qui offrent l'incarnation de l'imagination.

C'est précisément ici que tu fais ton entrée officielle ! N'oublie pas que tu disposes d'une semaine pour finir ta fiche - mais que généreux comme nous sommes, nous pouvons toujours t'autoriser un délai. Fiche à remplir en suivant notre modèle, bien entendu. Bien sûr cette partie est vue comme le pire des obstacles, et la réussite n'en sera que meilleure promis. Magie du clavier, de la pensée, de la création, ils se cousent des fils dorées où chacun a sa place. Un, deux, trois c'est parti !

De liens que l'on forme, mais aussi de demandes comme les double comptes ou les métiers, car il n'est pas aisé de vivre avec les poches trouées, ou le compte en banque absent. Des habitations également si tu ne veux pas terminer dans une brèche où la pluie et le vent mugissent sur ton visage. Mais ici c'est surtout pour se trouver des liens entre les personnages, pour préparer les rps et dialoguer. En un autre mot, pour imaginer à deux.

Elle crache des fumées verdâtres, tout en longueur, en largeur, gros ce manoir. Il respire la folie, fenêtres, portes, claquent, rugissent, rideaux dehors et dedans. Des rosiers envahissent d'épines les pièces minuscules du premier étage. Les allées s'éparpillent en labyrinthe dans le jardin de coeur. Des cartes, des chapeaux, s'amourachent des herbes folles. Territoire nébuleux à la réputation bizarre, ses habitants semblent toujours heureux, à la fois dans un au-delà merveilleux ou un cosmos infernal. Le manoir tient de la lune on le proclame clairement, on aimerait observer de plus près, mais le manoir étant susceptible, il n'ouvre pas ses bras à n'importe qui. Encore faut-il qu'il se souvienne des visages qui traversent ses portes.

L'AUBERGE DES NEIGES ⊱ L'hiver coule un repos éternel vers ce lieu étrangement gaie. Les enfants y affluent en nombre pour trouver un peu d'amusement car la neige chute, illumine les yeux. De sa peinture écaillée d'un ton bleutée, la porte silencieuse s'entrouvrent pour laisser s'habituer ses nombreux passants. L'auberge semble des plus sympathique esprit, solitaire, observatrice, protectrice, elle offre ses pièces pour les méritants seulement et hurle aux implacables de partir la nuit tombée sous peine intense de geler.

L'ANTRE DES BEAUTES ⊱ De ses colonnes agiles se dressent l'empirique vétusté, la maison s'agrandie au gré de ses envies ; coquette pour ses enfants habitants, une vraie mère superficielle. En apparence, ses murs blancs, délicatesse des temples antiques, elle héberge en son sein plusieurs endroits hideux qu'elle pare de ses bienfaits lumineux. Le palais des ronces s'exclame contre une réputation anéantie, elle qui souhaiterait tant que les innocents cheminent sur son chemin, offrandes aux barbes et aux loups criant.

L'USINE DÉPAREILLE ⊱ Elle a l'apparence fragile d'une vieille usine, du fer, du métal, elle s'étrangle dans un dynamisme rouillé. Ses étages sont de bois filés, des grincements bruissent à longueur de journée. Toiles d'araignées, insectes rampant, poussière pétrifiée, meubles brinquebalants, tout à le gout d'usure, de vieillesse. Elle tousse des brumes jaunâtres, elle fabrique des plantes asséchée, mais, sous son rez de chaussé possède quelques trésors cachés. Elle se donne la parure d'une pauvre pour qu'on lui laisse la paix, car cette maison est misanthrope dit-on.

Les traits se mouvent, dessinent des oasis d'hallucination mais, lorsqu'on s'approche, on constate que la maison se forme en navire englué dans un sable grisâtre. Autrefois, cette fierté des capitaines s'envolait, sillonnait le quartier. Rapt, pillages, batailles, souriaient aux conquérant, ils empochaient les âmes pour le plaisir de la dominance. Maintenant la ruine s'enrage de sa fixité. Le bateau aux ailes coupées par trop d'imprudence. Ses voisines surveillent, l'épave est de loin la moins appréciée pour ses voeux de guerre, de barbarie. Pourtant, les maîtres jouissent d'une érudité fascinante.

PILE OU FACE ⊱ Pile, c'est la lumière, de ces cris joyeux lancés dans les échoppes, ces commerçants là pour le plaisir de serrer les mains, d'offrir les denrées. Les passants s'arrêtent, jouissent d'un moment de volupté, repartent, sereins, restent des heures bavassant tranquillement près de leur compagnon aimé, affectionné. Face, les ténèbres s'esquissent, dans une vieille roulotte baignée d'usure, le rideau s'écarte pour les implacables. Les cages accueillent de leur générosité des personnages victimes des bras infernaux, gourmands. Pile c'est la lumière. Face et on t'enterre.

Il est né de la brume et de la glaise, immense création mystère. L'endroit de morfond, il hurle par ses végétaux mortels, des souffles diluvienne s'assemblent en commérage tandis que les pas de ces autres invisibles questionnent, angoissent. Et, dans la nuit roulante, glissante, dans cet autre monde sans luminosité se rejoignent les ombres et les monstres. Il est prêt à ouvrir ses portes pour ses enfants, pour avaler ses chérubins d'insouciance dans sa gueule d'acier.

Partie que beaucoup de gens aiment et apprécient, les jeux se déploient au regard et aux messages tandis que le flood servira à connaître nos membres mystérieux. De goût échangés et de blablatage partagés, c'est l'occasion de se détendre d'une journée de travail, d'une journée tendue ou tout simplement pour faire passer le temps.

LES ARCHIVES — Des papiers rebondissent sur des multiples étagères, des salles envahissantes dans ces souterrains croupissant c’est ici que l’on garde les secrets ; de rps achevés, de fiches de présentations de disparu, de sujets administratifs révolus ; vos yeux pourront se repaître d’anciennes nostalgies, vos oreilles bourdonneront de découvertes protégées mais vos lèvres toujours resteront scellées. Les papyrus sautillent par des mains convoitises, allez-y c’est permis. Mais attention peut-être que des ombres pernicieuses viendront fermés vos ambres pour se rassurer car les bibliothèques à Rome, les livres à Rome n’existent que dans des mémoires lointaines qui se lassent de notre présent ; les écrans maintenant au lieu de cette nourriture spirituelle.