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| Sujet: lovely little lonely. Ven 19 Jan - 20:06 | |
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naissance | au delà des nuages, le mont piéria, imposant, à côté de l'olympe la divine, éveillant l'imagination de ceux n'y ayant pas accès. espèce | derrière ses apparences de simple petite humaine, se cache une personnalité spécifique plus couramment appelée Muse, ancrée dans les esprits, c'est l'une d'entre elles, de ces femmes représentant les arts, le sien étant la danse. statut matrimonial | éternelle petite célibataire, elle a toujours vu la danse comme son seul et unique amour. et pourtant, la voila, entiché à l'incarnation même du mal. elle y voit que du feu la belle, et si elle reste officiellement seule, y a toujours cet instant, ces nuits pendant lesquelles elle part partager quelques draps, ou elle se laisse succomber, laissant ce mal lui voler sa lumière à elle. profession | elle volerait presque lorsqu'on l'observe, dans ces tutus pâles, enchaînant les divers mouvements. elle danse, encore et encore, dés qu'une musique semble raisonner. que ça soit la légèreté du ballet, la sensualité du tango, le rythme du swing, elle les connait toute ces danses, passant de l'une à l'autre, continuellement. situation familiale | quatre soeurs, quatre fille, représentant ces autres arts, avec qui elle se tient. elles sont cinq, et les quatre autres, elle les aime de tout son petit coeur de muse, elles sont essentielles à son équilibre, et ça elle le sait Terpsichore. maisons | si c'est cette cette scène son chez elle, y a bien cet endroit où elle offre à son corps le peu de répit qu'elle lui accorde, dans ce manoir d'émeraude. conte(s) | la mythologie grecque, hercule traits de caractère | joviale, charismatique, innocente, souriante, naïve, lunatique, passionnée, maladroite, douce, hyper sensible, impulsive, renfermée, masochiste. groupe | innocents. vice | le masochisme à l'état pur. la souffrance ne l'effraie pas, au contraire, ça l'aide à se sentir presque humaine, à ressentir les choses. alors terpshicore, elle n'a pas peur de se torturer. elle semble gracieuse, à première vue, mais personne ne les entend, ces os qui craquent dès qu'elle s'extirpe de son lit, dés qu'elle s'étirer, ces os qui sembleraient hurler face à la maltraitance qu'elle offre à son propre corps. elle aime cette douleur, ces restrictions qu'elle doit faire subir à son corps pour pouvoir entrer dans ses tutus qui sembleraient presque minuscule. son corps, elle aime dire que c'est son temple à elle, et pourtant, elle le martyrise, brisant ses ongles de pieds dû à ses pointes. la douleur ne l'effraie pas, bien au contraire. elle l'aime, un peu trop. vertu | sa naïveté, parce que c'est ce qui la rend touchante. elle est là, jolie petite Terpsichore, ne vivant que pour sa passion, pour son art. elle est ce genre dont on veut abuser, car sa naïveté lui permet de briller. elle brille, elle, elle a pas cette part d'ombre qu'on voudrait grater, découvrir, ce mystère. Terpsichore, c'est cette nana avec ses yeux éveillés, telle une enfant. elle pense que le monde n'est pas plein de pourriture, pourtant, Terpsichore, elle les a vu, même ces hauts dirigeants de l'Olympe, avec leur vices, effectuant les pires choses qu'il soit. petite naïve dans un monde cruel, qui comprend pas pourquoi on se joue d'elle, pourquoi on abuse d'elle, et ça lui fait mal. alors elle tente de se raffermir, mais cette même naïveté finie toujours pas reprendre le contrôle, et comme d'habitude, elle saute à pieds joints dans les embrouilles, ne comprenant simplement pas que le genre humain est probablement encore plus cruel qu'hadès lui même. pseudo | antigravity. commentaire | avatar | Alicia vikander crédits | ultraviolences. | terpsichore notes pour trop tard. Elle est gracieuse, au point qu’elle pourrait presque être confondu avec ces figurines de boîte à musique. La musique continue, encore et encore, tandis qu’elle semble presque ne plus avoir de contact avec la réalité. Plus rien ne la connecte au monde réel la voici perdu dans ses songes. Comme ces nombreuses fois, fois où elle dansait, encore et encore de manière à pouvoir distraire ces individus qui, sur leur Mont Olympe profitaient des joies de leur statut de Dieu. Des Dieux, avec leur vice poussé à leur apogées. Mais Terpsichore n’en tenait pas compte, puisqu’elle faisait ce qu’elle faisait mieux et ce qu’aujourd’hui, elle continue de faire. Jolie petite Terpsichore, avec ses tutus et ses chaussons, ou bien ces claquettes et ces robes à volant, déhanchant son corps fin sur ces airs divers, qu’il s’agisse d’un éternel swing, ou de quelque chose en solitaire avec son reflet. Elle savoure, chacun de ces instants, éternelle passion poussé à une obsession presque malsaine, une addiction évidente, un besoin, un souffle. L’oxygène n’est que superficialité, elle c’est ça qui lui permet de vivre, la fait vibrer. Elle captive, elle fascine. Parce qu’il n’y a qu’elle qui peut faire ça aussi bien. Le parquet craque, elle, elle n’entend rien, se perdant dans son art, se dévouant à celui-ci. Les pas se font plus lourds, tandis qu’un regard se pose sur elle, observant la délicatesse de ses formes, de chacun de ses mouvements, de son rayonnement. Elle sent cette présence qui pourtant n’est que dans le décors pour elle. Elle n’abandonne pas, malgré ses jambes qui fatiguent, malgré cette sueur qui perle légèrement sur son front, malgré ses muscles qui se tendent, se détendent, au même rythme de cette musique. Elle continue de se mouver sur cet air, tandis que lui, il tourne, autour d’elle, l’observant. La belle, elle ne se rend pas compte, jusqu’à ce que son poignet soit saisi, et qu’on la traine. La voila, finalement, immobile, parfaitement droite. Et derrière elle, celui qui d’apparence attire sa curiosité, celui qui anime ses rêves les plus fous, celui qui serait presque interdit, son nom se pendant toujours sur ses lèvres brûlantes. Cette main masculine s’enroulant autour de son cou, contrastant avec sa peau particulièrement douce. Ce souffle, vient effleurer sa joue, tandis qu’elle ferme les yeux. Elle se laisse faire la demoiselle, totalement soumise. Elle s’abandonne, un soupire sort d’entre ses lèvres. Elle se retourne, finalement, pour se retrouver en face de cet homme à la présence indéniable, au charisme captivant, à l’odeur enivrante. Il la colle contre lui, tandis qu’elle relève le regard vers lui, les étoiles brillants dans les yeux. Cette même innocence, se lisant au plus profond de ses iris. Elle se décolle, recule jusqu’à cette chaîne hifi et change de musique. Elle avance, d’un pas rapide, se collant de nouveau contre lui, mains jointes, regard plongé dans le sien. Et la voila, doucement, l’entraînant dans cette danse délicieuse, ce tango sensuel, tandis qu’elle semblerait presque s’abandonner à lui. La jouissance à l’état pur.
Et finalement, la voici, ses chaussons à la main, le regard baissé alors qu’elle tient ce sac sur cette épaule. Elle avance, pénétrant dans cette chambre, laissant ce sac tomber à même le sol. Les regards se perdent sur elle, elle les sent, tandis que toute se lèvent la curiosité se lisant sur leur trait. Elles le voient, parce que lui, il a le don de lui arracher sa lumière à Terpsichore, et sa naïveté lui porte préjudice. Alors la demoiselle, elle se retrouve là, son éternelle sourire ayant disparu, son visage fermé. Elles le savent, il est derrière tout ça. Parce que la demoiselle n’est pratiquement jamais comme ça, et la voila perdant cette lueur, cet aura spécifique qui disparait chaque seconde passées aux côtés de celui dont elle s’est finalement entichée. Elles échangent un regard, l’intervention est nécessaires, parce qu’elles savent que sinon, Terpsichore va vers sa perte. |
Dernière édition par Terpsichore le Sam 20 Jan - 19:58, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: lovely little lonely. Sam 20 Jan - 20:41 | |
| Putain ce que c'est beau ! (j'aurai du me connecter avec Barbe Bleue mais j'ai des choses à faire avec Céleste). J'ai été envoutée par ta fiche, par son histoire, par toute cette sensualité qui se dégage de chacun de tes mots. Je ne peux rien dire de plus, je suis émue, quand j'ai terminé de lire l'histoire j'en voulais plus Je me demande qui est cet homme qui obsède la muse, muse totalement enivrante et à qui je demanderai un lien ! |
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